Promulguée le 24 novembre 2018, la loi ELAN a considérablement simplifié les démarches concernant l’acte de caution solidaire. Depuis cette date, il n’y a plus aucune exigence de mention manuscrite pour ce fameux document.

Lettre

Un acte de caution solidaire  ou contrat de caution solidaire c’est comme vous le savez un document par lequel le garant – généralement un parent du locataire – s’engage à payer loyers et charges au bailleur en cas de non-paiement du locataire. 

Pendant des années, le garant, signataire du document devait remplir plusieurs mentions obligatoires à la main pour que le document soit valable juridiquement. Une seule erreur sur ce document pouvait rendre le document invalide renversant ainsi cette fameuse garantie, si précieuse pour les professionnels de l’immobilier et bailleurs. 

En droit, même les petits détails ont leur importance et certains actes de caution solidaire devaient ainsi être reproduits plusieurs fois avant d’être considérés comme valides dans un dossier. 

L’acte de caution solidaire en pratique 

Les fameuses mentions manuscrites à recopier par le garant sont toujours inscrites sur le document mais celui-ci n’a plus à les recopier à la main. 

Ouf, désormais une simple signature du document suffit et elle est désormais possible par voie électronique ce qui simplifie considérablement la démarche ! 

L’objectif de cette fameuse loi était en effet d’accélérer la numérisation du secteur, resté trop longtemps encré dans des procédures papiers, chronophages et si gourmandes en temps. Un bail et ses différents documents annexes peuvent ainsi être totalement dématérialisés. L’acte de caution solidaire constituait jusqu’alors le seul élément bloquant un réel processus de dématérialisation. 

L’immobilier s’est inscrite plus que jamais dans l’ère de la dématérialisation et cela n’est pas prêt de s’arrêter !

Quel est le pays ou l’on prélève plus de charges aux salaries ?

euro

Le lundi 19 juillet marque traditionnellement le jour symbolique de « libération fiscale et sociale » des Français, qui sont donc les derniers à être « libérés » en Europe, avec les Autrichiens. La raison : en matière de fiscalité et de cotisations sociales, la pression est lourde sur le salarié moyen français.

Pour autant, depuis 2018 ce poids des prélèvements obligatoires a baissé en France, mais reste cantonné à courant juillet. A contrario la majorité des 27 pays de l’Union européenne libère ses citoyens de la pression fiscale et sociale au mois de juin. Pour arriver à un tel classement, le calcul prend en compte le salaire complet payé par l’employeur au titre du salarié, puis à partir des cotisations sociales patronales et du salaire brut. Ensuite, les cotisations salariales, l’impôt sur le revenu et la TVA sont déduits afin de parvenir au pouvoir d’achat réel du salarié.

Autre point, actuellement, dans l’Union européenne, le taux réel d’imposition du salarié est de 44,5% en 2021, toujours selon les auteurs de l’étude. Il est en baisse de 0,15% par rapport à 2020 et de 1,10% par rapport à 2014, considérée comme une année record.

Article tire de zoom invest en date du 19 juillet source « mieux vivre votre argent ».

Immobilier peut proposer du capital garanti et 4 % de rendement : LE CROWDFUNDING

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Finple, la plateforme spécialisée dans le financement d’acteurs de l’immobilier et de PME/ETI, vient de lancer en juillet de nouveaux projets de promotion immobilière aux épargnants. La particularité : proposer d’investir dans des projets avec un capital investi assuré. Une véritable révolution dans le domaine, car jusqu’à présent, si le promoteur faisait faillite, l’investisseur avait très peu de chance de retrouver sa mise.

Pour Jérémy Schorr, directeur commercial de Primaliance, « c’est une opération de crowdfunding immobilier avec un capital assuré, ce qui en fait une solution de placement inédite sur le marché de l’épargne ». Une nouvelle solution d’investissement qui vise par ailleurs autant les particuliers prudents que les entreprises qui cherchent à diversifier leurs revenus. 

En termes de rendement, si le crowdfunding immobilier a pu offrir une performance annuelle moyenne de plus de 9 % ces deux dernières années, selon les données agrégées auprès de plus de 30 acteurs du secteur, avec ce placement en capital garanti, le rendement sera plutôt compris entre 3% et 4% brut.