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Des gens à la plage

Alors que la pension moyenne des retraités s’établit à 1.504 euros bruts, soit 1.380 euros nets, 4 actifs sur 10 pensent que leur pension ne sera pas suffisante pour combler leurs besoins après 65 ans. Selon un récent sondage, de nombreux Français préfèrent désormais anticiper et se constituer leur retraite en investissant.

Selon ce sondage de Happydemics pour Gambit Financial Solutions, deux tiers des Français ont déjà sollicité leur caisse de retraite ou leur conseiller bancaire, mais seuls 22% d’entre eux affirment connaître le montant de leur future retraite. Ainsi, près de la moitié des actifs (53%) ont déjà commencé à épargner pour leur retraite avec la recherche d’un revenu complémentaire. À ce titre, 43% d’entre eux privilégient l’assurance-vie, 29% épargnent via un livret A, 23% recourent à un dispositif d’épargne salariale (Perco ou PEE) et 17% disent avoir souscrit un plan d’épargne retraite (PER). 

Enfin, une dichotomie s’observe concernant les profils des futurs retraités. Cette anticipation de retraite touche avant tout les profils les plus aisés. Ceux n’ayant pas commencé à préparer cette retraite le justifient principalement par le manque de moyens.

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Placement apprécié des français, l’assurance vie peut se révéler pertinente, que vous souhaitiez financer un projet à moyen terme ou préparer votre retraite. L’assurance vie présente de nombreux avantages : une fiscalité allégée, une transmission du capital sécurisée ou la possibilité de transformer son capital en rente viagère. On vous explique tout !

Quel est le principe de l’assurance vie ?

L’assurance vie est un contrat par lequel l’assureur s’engage, en contrepartie du paiement de primes, à verser une rente ou un capital à l’assuré ou à ses bénéficiaires. Elle peut être utilisée comme un produit d’épargne à moyen ou long terme.

À l’issue du contrat, l’assuré ou ses bénéficiaires peuvent récupérer les sommes investies, augmentées des gains éventuels et diminuées des frais (de dossier et de gestion notamment).

Après ouverture du contrat par un versement initial, il est possible d’effectuer des versements, réguliers ou non, sans limite de montant. Même s’il est fiscalement plus intéressant d’épargner pendant au moins 8 ans, vous avez le droit de clôturer votre contrat ou d’effectuer des retraits à tout moment.

Les principaux types de contrats

Les contrats monosupport en euros

Vos versements sont investis sur des produits sans risque, telles que des obligations d’État, et revalorisés chaque année. Le capital investi est garanti à tout moment et les intérêts de l’année sont définitivement acquis.

Les contrats multisupport

Vos versement sont investis sur des produits sans risque mais aussi des produits liés à la bourse (obligationsactions, fonds, Sicav…), investis sur les marchés financiers, appelés unités de compte (UC). L’assureur garantit non pas la valeur de ces unités, qui varie, mais leur nombre. Cet investissement est plus risqué que les fonds en euros mais cela peut se révéler plus rémunérateur.

Les avantages de l’assurance vie 

L’assurance vie offre de nombreux avantages.

Elle permet de se constituer un capital sur le long terme. Après quelques années, vous pouvez retirer votre capital, c’est-à-dire fermer votre contrat et retirer l’argent déposé, augmenté des intérêts nets. Attention ! Vous n’avez pas de garantie de retrouver l’intégralité de votre mise si vous investissez dans des unités de compte (UC).

Elle offre aussi la possibilité de compléter ses revenus, notamment pour la retraite, par des retraits réguliers ou la transformation de votre capital en rente viagère.

Enfin, l’assurance vie est un excellent outil de transmission de son patrimoine grâce à une fiscalité avantageuse et à une grande liberté dans le choix des bénéficiaires.

Assurance vie : quelle fiscalité ?

Les intérêts issus des versements effectués depuis le 27 septembre 2017 sur votre contrat d’assurance vie sont soumis au prélèvement forfaitaire unique (PFU).

Le prélèvement forfaire unique (PFU) intervient lors du retrait partiel ou total des sommes disponibles sur votre contrat d’assurance vie.

Pour un retrait sur un contrat d’assurance vie intervenant 8 ans après son ouverture, le prélèvement forfaitaire unique s’élève à 7.5 % pour des sommes versées inférieures à 150 000 €.

Pour un retrait sur un contrat d’assurance vie intervenant moins de 8 ans après son ouverture, le prélèvement forfaitaire unique s’élève à 12.8 %.

Enfin, au prélèvement forfaitaire unique (PFU) s’ajoute 17,2 % de prélèvements sociaux.À noter

Les intérêts issus de versements effectués avant le 27 septembre 2017 restent soumis au régime d’imposition précédent l’introduction du prélèvement forfaitaire unique :

  • pour un contrat de moins de 8 ans : les intérêts sont soumis par défaut au barème progressif de l’impôt sur le revenu ou, sur option, au prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) s’élevant à 35 % avant 4 ans et à 15 % entre 4 et 8 ans.
  • pour un contrat de plus de 8 ans : les intérêts sont soumis par défaut au barème progressif de l’impôt sur le revenu ou, sur option, au prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) s’élevant à 7,5%.

Quelle fiscalité pour les héritiers ?

Au moment du décès du souscripteur de l’assurance vie, les sommes versées au bénéficiaire du contrat ne font pas partie de la succession du défunt.

Si le bénéficiaire de votre contrat est votre conjoint ou partenaire de PACS, il ne sera redevable d’aucun droit de succession,même si vous avez alimenté votre contrat après 70 ans.

Pour les autres bénéficiaires, le traitement fiscal varie selon l’âge de l’assuré lors du versement des primes :

  • pour les sommes versées avant 70 ans : après application de l’abattement de 152 500 € par bénéficiaire, les capitaux sont taxés à 20 % pour la part taxable de chaque bénéficiaire.
  • pour les sommes versées après 70 ans : un abattement unique de 30 500 € s’applique quel que soit le nombre de bénéficiaires. Au-delà, les capitaux versés sont réintégrés dans l’actif successoral. Toutefois, les intérêts capitalisés sont exonérés.

Auprès de qui la souscrire ?

Le contrat, géré par un assureur, peut être souscrit auprès d’un agent ou d’un courtier mais aussi par l’intermédiaire de votre banque ou d’associations d’épargnants.

Le devoir de conseil

L’assureur est tenu de vous informer des caractéristiques des produits qu’il vous vend. Depuis 2010, comme pour n’importe quel autre produit financier, l’intermédiaire qui commercialise une assurance vie doit s’enquérir de vos objectifs et vous vendre un produit adapté à vos besoins.

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Quel conseiller financier choisir pour bien gérer et optimiser votre patrimoine ? Conseiller de banque ? Conseiller en gestion de patrimoine (CGP) ? Banque privée ? Avocat fiscaliste ? Notaire ? Qui vous servira le mieux ? Et si ce n’était pas tout simplement…vous-même ? Réfléchissez bien avant de choisir et signer chez le premier conseiller financier venu. Car le premier venu ou le plus proche de chez vous n’est pas forcément le meilleur. Alors pourquoi choisir un conseiller en gestion de patrimoine et comment bien le choisir ?

Au travers de cet article, nous vous présentons 5 profils de clients, correspondants à différents niveaux de patrimoine. Pour chaque profil patrimonial, nous exposons de quelle façon vous pouvez tirer parti d’un conseiller en gestion de patrimoine. Dans de nombreuses situations, le conseiller en gestion de patrimoine se révèle indispensable afin d’optimiser et d’éviter les erreurs de gestion pouvant avoir des conséquences lourdes en termes de performance, de fiscalité ou de transmission.

SOMMAIRE


À force de travail et d’épargne, ou par héritage, vous avez amassé une somme rondelette : 30 k€, 100 k€, 1 M€ ou plus encore ? Vous disposez d’une capacité d’épargne (et/ou d’emprunt) significative et cherchez les meilleurs leviers pour construire votre patrimoine ? Vous pouvez vous sentir dépassé et vous vous demandez si vous avez besoin des conseils d’un professionnel pour placer cet argent.

Les atouts des conseillers en gestion de patrimoine (CGP)

Un conseiller en gestion de patrimoine (CGP) sera précieux dans de nombreuses circonstances, telles que la préparation de la succession, une expatriation, un changement de situation personnelle ou financière,…ou tout simplement pour tout mettre à plat. Rien à voir avec les soi-disant CGP qui vous démarchent pour des bilans patrimoniaux gratuits, avec pour seul objectif de vendre du Pinel ou autre produit très chargé en frais. Il faut que les intérêts du CGP et du client soient alignés, donc il faut bien choisir son conseiller.

Pourquoi consulter un conseiller en gestion de patrimoine ?

Les conseillers en gestion de patrimoine (CGP) ont coutume de se définir comme les médecins de famille du patrimoine familial. En effet, le CGP établit une relation de confiance, ainsi le client se confie et expose sa vie personnelle, professionnelle et ses projets. Puis le CGP établit un diagnostic patrimonial, donne des préconisations et conseils et assure le suivi à long terme. Du moins c’est ce que fait un bon CGP.

L’accompagnement peut être trans-générationnel et peut viser à optimiser la succession familiale. Il s’agit d’abord de développer au mieux votre patrimoine selon votre situation personnelle, en actionnant les bons leviers (capacité d’épargne ET capacité d’emprunt).

Entre autres missions des conseillers en gestion de patrimoine, on peut citer :

  • Analyse et conseils sur l’organisation juridique et civile (contrat de mariage ? Testament ? Optimisation de transmission de patrimoine ? Rédaction de clause bénéficiaire en assurance vie, etc.) ; fiscale (défiscaliser ou optimiser fiscalement ?) ; et financière (allocation patrimoniale sur mesure) de votre patrimoine.
  • Mise en place d’un plan d’actions via lettre de mission si vous acceptez les conseils prodigués (allocation patrimoniale sur mesure, optimisation fiscale, gestion déléguée, etc.). Par exemple, cela peut passer par le montage d’un investissement immobilier avec optimisation du rendement en optant pour le meilleur régime fiscal dans votre situation (LMNP ? Denormandie ? Création d’une SCI ? Etc.)
  • Suivi dans le temps : sur la base d’une lettre de mission annuelle de suivi, le CGP peut s’assurer régulièrement de l’adéquation des mesures prises avec l’évolution de votre situation familiale, professionnelle et patrimoniale. Par ailleurs, il pourra établir votre déclaration d’impôt sur le revenu tous les ans.

Bien entendu, plus votre « surface financière » sera importante et plus la valeur ajoutée d’un bon conseiller en gestion de patrimoine sera réelle en termes de gain de temps et d’argent. Ceci dit, recourir aux services d’un CGP peut être pertinent également avec un patrimoine modeste si le potentiel est là, notamment pour les professions libérales et entrepreneurs (et plus généralement pour tout individu ou foyer avec une bonne capacité d’épargne et/ou d’endettement).

Comment choisir un bon conseiller en gestion de patrimoine ?

Il existe plusieurs types de conseillers en gestion de patrimoine. En agence bancaire, on rencontre beaucoup de CGP, mais ils sont dépendants des produits maison et on peut estimer que le conseil est biaisé. Alors privilégiez plutôt les CGPI (conseillers en gestion de patrimoine indépendants), ils sont rémunérés à l’heure de conseil ; ou les CGPL (conseillers en gestion de patrimoine libéraux) travaillant en architecture ouverte avec un grand choix de produits et partenaires différents. Sachez que la réglementation française tend d’ailleurs vers ce modèle anglo-saxon, plus sain et qui garantit plus d’indépendance.

Ne vous laissez pas appâter par les rendez-vous et les bilans gratuits destinés à vous vendre ensuite toujours les mêmes solutions : assurance-vie très chargée en frais + Pinel également très chargé en frais et rarement rentable (jusqu’à 50% de surcoût, comme dans notre cas pratique réel sur le Pinel). Tous les conseillers en gestion de patrimoine ne se valent pas, loin de là !

Sachez que les CGP indépendants ou libéraux (facturant des honoraires) seront généralement plus objectifs et neutres dans leurs conseils. Si cela vous intéresse, nous connaissons un cabinet sérieux (habilitation CIF et ORIAS) qui nous a fait bonne impression par son souci du conseil (étude patrimoniale complète suite à lettre de mission) et ses solutions d’investissement en architecture ouverte : nous pouvons vous mettre en contact (contactez-nous).

Note de Nicolas : J’ai moi-même été approché par plusieurs grands groupes de CGP. C’est incroyable comme les méthodes et solutions étaient identiques : 1er RDV = prise de contact et connaissance client. 2ème RDV = vente d’une assurance-vie à 3 % de frais sur versement et Pinel à l’autre bout de la France. J’ai bien entendu décliné, car aucune plus-value en termes de conseil et de qualité des investissements proposés. Bref, votre vrai défi sera de trouver un bon CGP (voir paragraphe plus haut), mais les changements de règlementation vont dans le bon sens.

Que penser des conseillers bancaires ?

Par mimétisme social, par habitude, ou par tradition familiale, vous êtes certainement client d’une banque que vous suivez fidèlement. Il s’agit probablement de la banque héritée de vos parents ou de celle rejointe à l’occasion d’un crédit immobilier, et c’est votre conseiller clientèle qui place votre argent. Vous signez quasiment les yeux fermés en le croyant sur parole tel votre médecin de famille, sans chercher à vous informer ou à comparer les conseils ou les produits.

Les frais sont-ils toujours justifiés au regard du conseil délivré et des investissements proposés ? Les frais sont souvent bien cachés et intégrés à la performance servie, vous en payez sans doute sans même vous en rendre compte. Sans compter les coûts d’opportunité, c’est à dire ce que vous gagneriez en plus si vous placiez mieux, et les conseils manqués notamment en termes d’optimisation patrimoniale et fiscale.

Selon votre niveau de patrimoine et vos capacités d’épargne et d’emprunt, vous n’aurez pas les mêmes enjeux et pas besoin des mêmes conseils.