CACP64 COTE IMMOBILIER vous informe que :

DPE

𝐀̀ 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐫 𝐝𝐮 𝟎𝟏/𝟎𝟒/𝟐𝟑 : 𝐋’𝐚𝐮𝐝𝐢𝐭 𝐞́𝐧𝐞𝐫𝐠𝐞́𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐧𝐭𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝐯𝐢𝐠𝐮𝐞𝐮𝐫. 

👉🏼 𝐐𝐮’𝐞𝐬𝐭-𝐜𝐞 𝐜’𝐞𝐬𝐭 ? 

Ce document proposera les travaux à réaliser pour améliorer le classement de l’habitation, en une seule fois ou par étapes. 

💡 Ces travaux ne sont pas obligatoires pour conclure la vente, mais l’acquéreur sera informé de leur nature.

👉🏼 𝐐𝐮𝐞𝐥𝐬 𝐥𝐨𝐠𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐞𝐫𝐧𝐞́𝐬 ?

Un audit énergétique devra être réalisé préalablement à la mise en vente des immeubles d’habitation en monopropriétés (appartenant à un seul propriétaire) ou de maisons individuelles dont le diagnostic de performance énergétique (DPE) est classé F ou G. 

⚠️ L’audit s’appliquera ensuite aux habitations :
🔺 classées E à partir du 1er janvier 2025,
🔺classées D à partir du 1er janvier 2034.

𝐐𝐮𝐢 𝐞𝐬𝐭 𝐡𝐚𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐚̀ 𝐫𝐞́𝐚𝐥𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐜𝐞𝐭 𝐚𝐮𝐝𝐢𝐭 ?

Un professionnel qualifié, qui n’a aucun lien de nature à porter atteinte à son impartialité et à son indépendance vis-à-vis du propriétaire.

Pour plus amples informations, cliquez sur ce lien :

https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A15675

J’achète un rez de jardin !

Madelin

Vous venez de visiter un appartement situé en rez-de-chaussée ou en rez-de-jardin et vous hésitez à faire une offre ? Tour d’horizon des avantages et inconvénients à ne pas habiter en étage.

    Rez-de-chaussée ou rez-de-jardin : de quoi parle-t-on exactement ?

    Aussi bien dans une résidence neuve que dans un immeuble haussmannien, un logement en rez-de-chaussée donne sur une cour, une rue, un parking ou sur un jardin s’il s’agit d’un rez-de-jardin. Ce dernier possède parfois un accès direct à un espace vert, avec une possible jouissance privative de ce dernier.

    « En ville, la demande pour les rez-de-jardin s’est amplifiée depuis la crise sanitaire », constate Karine Girod, la présidente du Groupement d’Intérêt économique d’Orpi Lyon, qui rassemble plusieurs agences Orpi du territoire lyonnais. Ce sont des biens de plus en plus convoités par des acquéreurs n’ayant pas trouvé de maisons ou des citadins souhaitant rester en ville tout en disposant d’un espace au-dehors. Typiquement des familles avec des jeunes enfants.  »Selon une étude publiée par Harris Interactive en septembre 2022, 54% des Français prêtent en effet désormais une attention toute particulière à la présence d’un espace extérieur lors de l’achat d’un bien immobilier. De ce fait : « L’offre est plutôt rare et les prix plus élevés que pour un appartement en étage », prévient la présidente du GIE lyonnais

    Quels sont les défauts des biens situés en rez-de-chaussée ?

    La situation en rez-de-chaussée du bien lui confère certains défauts intrinsèques, dont il faut avoir conscience lorsqu’on envisage d’acquérir ce type de logements. Voici une liste non exhaustive des inconvénients que peuvent avoir les biens immobiliers situés en rez-de-chaussée.

    • Un manque de luminosité ; 
    • Un vis-à-vis et un manque d’intimité ;
    • Des nuisances sonores si l’immeuble se situe dans une rue très passante et animée, avec des commerces, des bars et restaurants ouverts pendant la nuit. Même si le bruit a tendance à monter, ces nuisances peuvent être plus facilement ressenties pour les habitants des rez-de-chaussée. Si des clients du bar voisin s’immobilisent sous vos fenêtres pour discuter, par exemple. Pour vous faire une idée précise, demandez à effectuer des contre-visites à différentes heures du jour. Si possible, demandez même à revenir en soirée ! Vous pourrez ainsi vérifier si les bruits générés par les allées et venues dans le hall d’entrée et par la vie de quartier côté rue sont supportables. Vous pouvez également venir accompagné d’un artisan, afin de chiffrer les éventuels travaux d’isolation phonique à réaliser ;
    • Une moindre performance thermique : 40,5% des logements parisiens situés en rez-de-chaussée présentent un classement énergétique supérieur à E, selon l’agence de location en ligne Flatlooker. Largement moins bon, donc, que les biens situés dans les étages d’un même immeuble, puisque la proportion passe à 29,4% pour les biens situés au premier étage et à 26,2% pour ceux du deuxième étage. Un paramètre à prendre en compte au moment de l’achat pour anticiper d’éventuels travaux de rénovation énergétique ;
    • Un risque plus élevé d’être cambriolé et de voir son budget assurance s’envoler. Last but not least« Les assurances peuvent appliquer une surprime en raison d’un risque supposément plus élevé de cambriolages, l’appartement étant plus visible, note Karine Girod. Elles pourront également demander d’appliquer quelques consignes supplémentaires pour que le contrat soit respecté : il faudra par exemple fermer ses volets lorsque l’on s’absente. Les locataires ou propriétaires qui songent à s’installer en rez-de-chaussée doivent penser à ces contraintes, car elles peuvent impacter leur vie au quotidien. » Si le coup de cœur pour le logement est réel, n’hésitez pas à renforcer sa sécurité en installant une alarme, des loquets de sécurité, etc.

    Quels sont les atouts des biens situés en rez-de-chaussée ?

    Il n’y a pas que des inconvénients à se porter acquéreur d’un bien situé au rez-de-chaussée. Loin de là ! Ci-dessous, les avantages que vous pouvez avoir à vous positionner sur ce type de biens.

    • Des prix de vente moins élevés : la différence de tarifs entre un rez-de-chaussée et un dernier étage varie de 15% en province à 19% à Paris, selon une étude du site MeilleursAgents. Selon Karine Girod, « ces biens sont généralement recherchés par des primo-accédants parce qu’ils entreront plus facilement dans leur budget, ou par des investisseurs pour les mettre en location. » Il faut cependant avoir conscience que cette décote s’appliquera également à la revente. A noter également qu’une partie du marché immobilier vous sera alors fermée : malgré les baisses de prix consenties par les vendeurs de ce type de biens, certains acheteurs se refusent catégoriquement à envisager l’acquisition d’un appartement au rez-de-chaussée ;
    • Une meilleure accessibilité : les appartements en rez-de-chaussée peuvent s’avérer intéressants pour les personnes âgées ou pour les personnes à mobilité réduite. Pas d’étage à monter avec des sacs de courses ou d’ascenseur risquant de tomber en panne ! Un argument également valable au moment du déménagement ou s’il faut entreprendre des travaux ;
    • Des charges spécifiques réduites : dans un immeuble en copropriété, les charges générales sont réparties entre les différents copropriétaires (administration, entretien et conservation de l’immeuble). Quant aux charges spéciales (gardiennage, service de nettoyage, système de sécurité, entretien de la chaudière collective, de l’ascenseur, etc.), elles sont payées en fonction de l’utilité que présentent les services et équipements pour chaque appartement. Or, qui dit rez-de-chaussée dit absence du besoin d’ascenseur ! Les copropriétaires des logements situés en rez-de-chaussée n’ont donc pas à supporter les frais d’un ascenseur, sauf si celui-ci dessert la cave ou le parking.

    La SUCCESSION c’est :

    Succession donation

    Le terme « succession » se réfère à la procédure juridique qui permet de répartir les biens patrimoniaux d’une personne lorsque sa mort survient. C’est à partir de la succession souvent établie à partir d’un testament que les proches du défunt savent ce qu’ils vont « hériter ». A savoir que le patrimoine d’une personne regroupe non seulement les actifs du défunt mais également ses passifs c’est-à-dire ses dettes « éventuelles ».

    On retrouve deux formes de succession. La succession « testamentaire » (forme la plus répandue) et la succession « « ab intestat » où c’est le code civil qui définit le partage de patrimoine selon le degré de parenté que les héritiers ont avec la personne décédée (ascendant ou descendant).

    Déclaration de la succession

    La déclaration de succession est un document administratif qui stipule le patrimoine d’une personne décédée et qui sert à déterminer le montant des impôts que devra payer les héritiers. Cette déclaration doit être effectuée maximum 06 mois après le décès (en cas de retard, pénalité de 0.75% par mois, 10% à compter du 13 mois).
    Bien que ce ne soit pas obligatoire (sauf en cas de biens immobiliers), son établissement peut se faire en présence de notaire qui va procéder à l’établissement de la liste des héritiers ainsi que leurs droits successoraux.

    Droit de succession

    Il faut savoir que la transmission de biens même dans le cadre de succession est soumise à un régime d’imposition qui prend la forme de droit de succession que l’on doit verser à l’Etat. Hormis l’époux du défunt, son partenaire de Pacs ou encore les frères et sœurs habitants avec le défunt de son vivant, toutes les personnes citées dans un testament ainsi que les héritiers de la personne décédées sont sans exception soumis au droit de succession.

    Comment optimiser sa transmission ?

    optimiser sa transmission - image

    Afin de faciliter l’accès à son patrimoine à ses héritiers lors de son décès, il existe plusieurs façons « d’éviter » les droits de succession. Il est d’ailleurs recommander de recourir à ces méthodes afin d’alléger au mieux ses proches.

    En effet, les droits de succession peuvent dans la plupart des cas coûter cher et engendrent souvent des frais assez conséquents. La part taxable du patrimoine peut représenter un coût important aux héritiers.

    ➡️ À lire aussi :  SCPI : est-ce un bon placement pour la succession ?

    La donation : un bon moyen pour réduire les droits de succession

    Le premier moyen et le plus simple pour réduire les droits de succession est sans aucun doute la donation. En effet, elle permet de transférer de son vivant et ce à titre gratuit la propriété d’un meuble et immeuble à un individu que l’on a désigné.
    On distingue 04 sortes de donations :

    • Le présent d’usage
    • Le don d’argent
    • La donation simple
    • La donation partage

    Il faut savoir que chaque donation bénéficie d’un abattement et réduit le coût des droits de succession. Dans le cas d’une donation simple entre parent et enfant par exemple, le montant de l’abattement est de 100 000 euros. Par contre, une donation est irrévocable.

    Le démembrement

    Le démembrement consiste à « démembrer » en deux partis un bien immobilier. L’usufruit sera séparé de la nue-propriété. Par définition, on entend par « usufruit », le droit d’user d’un bien et d’en percevoir les fruits ou les revenus. A contrario la nue –propriété est le fait de posséder un bien sans que le propriétaire n’ait la possibilité de jouir du bien en question.

    Ainsi la stratégie de démembrement consiste à transmettre la nue-propriété à ses héritiers tandis qu’on garde le droit d’usufruit.  Lorsque le décès du propriétaire survient, l’usufruit prend fin et le nu-propriétaire acquiert tous les droits sur le bien immobilier.

    Répartir l’héritage par un testament

    La rédaction d’un testament est un bon moyen de répartir son héritage (la quotité disponible) et de réduire le coût des droits de succession.
    Le testament peut être effectué de trois façons :

    • Olographe : document rédigé manuellement par le défunt (acte sous seing privé)
    • Authentique : document rédigé par un notaire assermenté en présence de deux témoins ou d’un autre notaire
    • Mystique : document rédigé manuellement par le défunt qu’il remet par la suite à un notaire en présence de deux témoins. 

    A savoir qu’un testament ne doit en aucun porter préjudice aux droits des héritiers réservataires (une partie de l’héritier doit toujours revenir aux héritiers de pleins droits comme les enfants ou le/la conjointe de la personne décédée).

    Fiscalité attractive de l’assurance vie

    Les contrats d’assurance vie jouissent d’une fiscalité à part et avantageuse sur le plan successoral. En effet, le capital réalisé à partir d’un contrat d’assurance vie lors du décès de son titulaire ne figure pas dans la liste de succession mais revient de plein droit à la ou les personnes désignées par le contractant à l’ouverture de la police d’assurance.

    ➡️ À lire aussi :  Les droits de succession, c’est quoi ? Qui les paie ?

    Sa fiscalité est ainsi tout autre et n’est pas associé au droit de succession. Les montants versés avant l’âge de 70 ans (capital et intérêts) sont conduites à un abattement fiscal d’une valeur de 152 500 euros à chaque bénéficiaire désigné dans le contrat. Cet abattement est de 30 500 € après 70 ans.

    La société civile immobilière (SCI)

    La SCI (Société Civile Immobilière) permet aux particuliers ayants des biens locatifs de grande valeur et des investissements immobilier de jouir d’une fiscalité avantageuse et d’une réduction de droit de succession par la même occasion.

    La SCI consiste à fragmenter un ou plusieurs biens immobiliers en parts. Ces derniers pourront par la suite être donnés à partir d’un acte de donation (à savoir qu’il faut tenir compte d’un abattement de 100 000€ tous les 15 ans).

    La pierre papier (SCPI)

    La SCPI ou Société Civil en Placement Immobilier est un moyen de placement qui permet d’investir dans des parts de biens immobiliers commerciaux. Par le biais d’un démembrement, il est possible de maintenir l’usufruit du bien en SCPI et de transmettre la nue-propriété afin de réduire les droits successoraux.