L’assurance vie fait mieux que le livret A

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Alors qu’il s’agit des deux placements préférés des Français, selon les dernières données publiées par la Fédération française de l’assurance, l’assurance-vie a connu un succès plus vu depuis septembre 2019 et le meilleur mois d’octobre de son histoire. La collecte nette s’établit à 2,7 milliards d’euros pour octobre, contre 2,83 milliards d’euros pour le livret A.

Plus précisément, les dépôts ont atteint 13,2 milliards d’euros, soit un niveau record pour un mois d’octobre, contre 10,5 milliards d’euros de retraits. De son côté, le Livret A connaît, sur la même période, sa plus forte désaffection depuis fin 2014, avec un différentiel de 2,83 milliards d’euros entre les dépôts et les retraits. Ce différentiel d’intérêt au profit de l’assurance-vie s’explique, selon Franck Le Vallois, directeur général de la FFA, car « les Français ont exprimé ou reformulé des projets de moyen et long terme ». Franck Le Vallois rappelle d’ailleurs qu’au début de l’épidémie de Covid-19, et jusqu’à assez récemment, l’assurance-vie connaissait un vif désintérêt face au Livret A, les Français préférant disposer d’une épargne rapidement disponible.

Les assureurs envisagent de risquer 14 %

Une enquête annuelle de BlackRock confirme l’appétit croissant des assurés pour les actifs privés. Raison pour laquelle, il y aurait près de six assureurs sur dix qui envisagent d’augmenter leur exposition aux actifs risqués au cours des deux prochaines années. Il s’agirait du plus haut niveau jamais observé par BlackRock.

Ce rapport s’appuie sur les réponses de 362 directeurs représentant les deux tiers de l’industrie en termes d’actifs sous gestion. Ces derniers prévoient majoritairement d’augmenter leur allocation aux actifs privés de 11 à 14% d’ici à 2023, c’est à dire un doublement depuis 2019. Pour BlackRock, cette importante hausse constatée s’explique plus par une nécessité qu’une réelle préférence des assureurs. En effet, l’environnement durable de taux bas continue de réduire les marges et les oblige à regarder les actifs à plus fort rendement. 

À ce jeu, les stratégies diversifiées devraient largement profiter de cet afflux de capitaux des assureurs. Il en va de même pour les investissements dans la dette, le private equity et les actions non cotées dans l’immobilier commercial. Les ETF pourraient également voir arriver un flux important de capitaux, car très recherchés pour leur liquidité et leur exposition à des marchés performants.

L’arrivee du PINEL Plus avec des modifications certaines.

En 2023, de nouveaux critères seront a prendre en compte dans le cadre de la fiscalité de la loi dite  » PINEL  » . Des nouvelles améliorations seront à prendre en consideration par les futurs propriétaires comme les accès a un espace extérieur…

Les investisseurs immobiliers achètent des biens dans le cadre de la mise en location depuis 2014. Ceux ci sont soumis a des critères sur leur situation géographique, les loyers plafonnes, etc…

Cette loi PInel devait s’éteindre a la fin de l’année mais est prorogée par la ‘PINELPLUS’ 2023. De nouvelles mesures seront a prendre en considération comme par exemple un appartement de type 5 pièces principales devra etre d’une superficie minimale de 96 M2. Quand au studio celui-ci sera de 28 m2. A partir du 3 pièces, ceux ci devront avoir un accés extérieur et voir traversant. N’oublions pas l’aspect environnemental.