Oui, auprès des particuliers et non pour le professionnel …

L’ACQUÉREUR N’EST PAS LIÉ PAR UN CONTRAT AVEC L’AGENCE IMMOBILIÈRE

On peut visiter avec un agent immobilier et acheter avec un autre
On peut visiter avec un agent immobilier et acheter avec un autre – dr

Pour acheter un bien immobilier, un candidat est libre de présenter des offres à toutes les agences chargées de la vente.

Lorsqu’un bien immobilier est proposé à la vente par plusieurs agences, un candidat à l’achat est libre de présenter des offres à celle de son choix. En effet, même s’il a initialement visité le bien avec une agence, il peut choisir de passer ensuite par une autre pour faire une offre, juge la Cour de cassation.

Un acquéreur avait formulé une première offre sur le bien qu’il convoitait avec l’agence lui ayant fait visiter l’appartement, mais celle-ci a été refusée par le vendeur. Une deuxième offre, d’un montant plus important, avait été faite mais auprès d’une autre agence qui demandait une commission moins élevée.

La première agence estimait ainsi être victime d’un comportement déloyal et réclamait le paiement de sa commission à cet acquéreur. Elle estimait qu’ayant visité grâce à elle, le candidat acquéreur était lié à elle et ne pouvait plus passer que par elle.

Il s’agissait selon elle d’une sorte d’obligation morale et l’attitude de l’acheteur lui avait fait perdre sa commission, même si cette commission était due par le vendeur qui l’avait mandatée.

L’acquéreur n’est pas lié par un contrat avec l’agence

Mais la justice n’a pas suivi ce raisonnement. Il n’y a pas de faute pour l’acquéreur, qui n’est pas lié par un contrat avec l’agence. Il peut, pour sa seconde offre, s’adresser à un autre agent, lui aussi chargé de vendre sans exclusivité. C’est le principe du mandat simple, qui s’oppose au mandat exclusif.

Il n’y a pas non plus de faute du vendeur à accepter cette offre faite par une autre agence, ont dit les juges.

En 2014 cependant, la Cour avait jugé que le comportement fautif d’un acquéreur justifiait qu’il soit condamné s’il faisait perdre la commission due par le vendeur en empêchant la vente de se réaliser. Mais il s’agissait d’un autre cas de figure, dans lequel l’acheteur avait renoncé sans raisons à signer après s’être engagé.

Combat entre le LMNP et la loi dite  » Pinel « 

Pourquoi le LMNP se place comme une alternative attrayante au Pinel ? 


Une demande locative forte



Les actifs en résidences gérées (résidences étudiantes, EHPAD, seniors, de tourisme ou d’affaires) jouissent d’une demande locative importante, puisque celles-ci répondent à des besoins démographiques bien présents. 
 
En effet, alors que les étudiants ont de plus en plus de difficulté à se loger près de leur lieu d’études à des loyers accessibles ; les personnes âgées sont de plus en plus nombreuses à devoir s’orienter vers des résidences seniors ou médicalisées. Du côté des résidences de tourisme, la France reprend sa marche en avant et se place plus que jamais en tête des destinations touristiques mondiales. 
 

Le bail commercial : visibilité et absence de contrainte !
 
Lorsqu’un propriétaire investit dans une résidence services, il signe un bail commercial avec un exploitant spécialisé. Les baux proposés sur le marché primaire offre une visibilité sur plus de 9 ans. Pour les biens anciens, nous proposons majoritairement des biens bénéficiant de baux renouvelés, gage de lisibilité.
 

LMNP neuf ou ancien ?
 
Lorsque l’on parle de LMNP, les offres dans le marché primaire et celles dans l’ancien sont complémentaires et non opposées. En effet, cela dépend des objectifs patrimoniaux des investisseurs, ainsi que de leurs objectifs.

Avec cette inflation, la performance en immobilier papier en accuse le coup !

Depuis quelques mois, le secteur de la pierre papier connaît des turbulences, avec des annonces de décotes de prix de parts de SCPI de plus en plus fréquentes et venant de grandes maisons du secteur. De quoi susciter des inquiétudes chez les investisseurs. 

Pour l’Aspim (Association française des sociétés de placement immobilier), il ne faut cependant pas dramatiser puisque seulement 7% des 215 SCPI du marché ont réduit leurs prix de parts au 30 juin. Dans le même temps, 10% les ont augmentés.

Du côté des SCI (Sociétés Civiles Immobilières), on constate un revers important en 2023, avec une collecte de seulement 1 milliard d’euros au premier semestre, soit une chute de 66% par rapport au même semestre en 2022. De plus, leur performance moyenne est négative, atteignant -1,07%. Cela peut s’expliquer par la prise en compte des baisses de valorisations des actifs immobiliers détenus en direct ou via des participations dans d’autres fonds non cotés.

Enfin, pour les OPCI (Organismes de Placement Collectif Immobilier), ces dernières ont affiché une performance de -3,19% au premier semestre 2023, principalement due à la baisse de la valeur de leurs actifs immobiliers, influencée par la remontée progressive des taux d’intérêt.

SOURCE AGEFI